Définitions du handicap

Selon la loi du 11 février 2005, le handicap en France est défini comme « toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant.« 

De son côté, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le handicap comme « l’intégrité physique ou mentale passagèrement ou définitivement diminuée soit congénitalement, soit sous l’effet de l’âge ou d’un accident, en sorte que son autonomie, son aptitude à fréquenter l’école ou à occuper un emploi s’en trouvent compromises.« 

Enfin, la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées établit que « les personnes handicapées sont des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles durables dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres.« 

Types de handicap

On distingue plusieurs catégories de handicap.

Handicap moteur

Le handicap moteur se réfère à toute atteinte des fonctions motrices d’un individu, causant une limitation de ses mouvements ou de sa dextérité. Ces limitations peuvent être partielles ou totales, affectant souvent les membres supérieurs ou inférieurs de la personne. Il peut résulter de différentes situations comme un accident, une maladie ou une condition génétique. Le handicap moteur peut ainsi influencer considérablement l’indépendance et la capacité d’une personne à effectuer des tâches quotidiennes sans assistance.

Handicap sensoriel

Le handicap sensoriel peut être de deux types : le handicap auditif et le handicap visuel.

Handicap auditif

Le handicap auditif concerne les personnes ayant des difficultés d’audition, qu’elles soient sourdes de naissance ou devenues sourdes. Les moyens de communication varient entre la Langue des Signes Française (LSF), la lecture labiale, le Langage Parlé Complété (LPC), et l’écrit.

Handicap visuel

Le handicap visuel se manifeste par une déficience de la vision. Il peut être divisé en plusieurs niveaux de sévérité, allant des malvoyants légers aux personnes totalement aveugles.

Handicap mental

Le handicap mental englobe les difficultés relatives à la conceptualisation, la réflexion, la décision et la communication. Ces défis sont souvent le résultat d’une déficience mentale, qu’elle soit congénitale ou acquise. Les personnes atteintes d’un handicap mental peuvent éprouver des difficultés à comprendre, apprendre et participer pleinement à la vie sociale. Cette condition demande souvent un accompagnement adapté et un soutien continu pour permettre à l’individu de mener une vie aussi autonome que possible et de participer activement à la société.

Handicap cognitif

Le handicap cognitif désigne une altération des fonctions cérébrales, affectant l’acquisition et le traitement de l’information. Il peut toucher diverses capacités telles que la perception, l’attention, la mémoire, le langage, le raisonnement et l’interaction sociale. Ces troubles sont souvent le résultat d’un dysfonctionnement cérébral.

Handicap psychique

Le handicap psychique englobe les pathologies qui affectent le psychisme, comme les psychoses, la dépression ou les troubles anxieux. Ces conditions peuvent entraîner une dépendance, une perte d’autonomie, des difficultés relationnelles et des troubles de l’attention. Le handicap psychique, souvent chronique, peut limiter la capacité de la personne à mener une vie ordinaire sans accompagnement spécifique.

Maladies invalidantes

Les maladies invalidantes comprennent des troubles de santé qui affectent de manière significative la capacité fonctionnelle de l’individu. Ces conditions, souvent non visibles, peuvent affecter des organes vitaux tels que le cœur, les poumons ou les reins, et incluent des maladies comme le cancer, l’insuffisance cardiaque ou rénale, ou le VIH/SIDA. Elles peuvent être temporaires, permanentes ou évolutives.

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Comprendre ces options et leurs avantages respectifs peut aider à briser les stéréotypes et à favoriser une meilleure intégration des personnes souffrant de maladies psychiques.

L’importance de l’hébergement dans le parcours d’autonomie

L’hébergement est une étape clé dans le parcours d’autonomie des personnes souffrant de troubles psychiques. Disposer d’un logement approprié offre, en effet, une base stable pour le quotidien, une condition essentielle pour favoriser l’intégration sociale et le bien-être des personnes concernées.

L’accès à un hébergement adapté peut aider à renouer avec des routines quotidiennes comme faire ses courses ou assurer les tâches ménagères. Ces activités, simples en apparence, sont pourtant d’une importance fondamentale pour regagner une autonomie et une estime de soi.

Dans ce cadre, des structures comme les appartements thérapeutiques jouent un rôle déterminant, en offrant un environnement de transition en douceur entre l’hospitalisation et la réinsertion dans la communauté. Dans ces structures, les résidents peuvent bénéficier d’un suivi psychiatrique, tout en apprenant à vivre de manière autonome, contribuant ainsi à leur quête d’indépendance.

L’accompagnement médico-social et social

L’accompagnement médico-social et social joue un rôle essentiel dans le soutien des personnes en situation de handicap psychique. Cet accompagnement peut se faire à travers diverses structures, en fonction des besoins spécifiques de chaque individu.

Par exemple, les Maisons d’Accueil Spécialisées (MAS) et les Foyers d’Accueil Médicalisés (FAM) sont des établissements qui offrent un hébergement permanent aux adultes handicapés nécessitant une assistance continue pour accomplir les actes essentiels de la vie quotidienne. Ces structures garantissent un suivi médical et éducatif visant à maintenir ou à développer l’autonomie de la personne accueillie.

Les Foyers de Vie (FdV) et les Appartements de Coordination Thérapeutique (ACT) se concentrent sur le maintien de l’autonomie et l’intégration sociale des résidents. Ces établissements proposent une variété d’activités adaptées au niveau du handicap de chaque résident.

Pour les travailleurs handicapés, des foyers d’hébergement spécifiques sont disponibles. Ces structures offrent un logement et un soutien aux personnes qui travaillent en milieu ordinaire, en entreprise adaptée, ou en Établissement et Service d’Aide par le Travail (ESAT).

D’autres établissements, sans mention « médicale », s’inscrivent dans une logique de réinsertion sociale. Ils incluent des appartements accompagnés, des pensions de famille, des résidences d’accueil, et des Centres d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS).

L’habitat inclusif : une alternative d’avenir

A présent, l’habitat inclusif représente une solution d’avenir pour les personnes atteintes de troubles psychiques. Il s’agit d’un concept d’habitation qui offre un logement adapté en milieu ordinaire, tout en favorisant une intégration sociale harmonieuse.

Dans un habitat inclusif, les résidents ont leur propre espace privé, tout en partageant des espaces communs, un peu comme dans une colocation. L’aspect distinctif de ce type d’habitat réside dans l’accompagnement social proposé. Les résidents peuvent bénéficier de divers services d’accompagnement pour les aider dans leur quotidien.

Ce modèle d’hébergement, qui s’inscrit en dehors de tout dispositif d’orientation sociale ou médico-sociale, contribue non seulement à désengorger les services d’hospitalisation, mais offre également des projets de vie adaptés aux personnes en situation de souffrance psychique. En somme, l’habitat inclusif apparaît désormais, comme une véritable voie vers une vie plus autonome et intégrée.

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Le détournement de l’allocation aux adultes handicapés : un abus doublement inacceptable

Assez récemment, une mère de famille âgée d’une cinquantaine d’années a été condamnée pour avoir détourné les allocations destinées à sa fille souffrant d’un handicap intellectuel. L’affaire est particulièrement terrible puisqu’au lieu de consacrer ces fonds au bien-être de sa fille, sa génitrice les a utilisés pour des achats en ligne et des jeux au casino.

Au total, en l’espace de deux ans, entre janvier 2018 et janvier 2020, pas moins de 16 000 euros ont été injustement soustraits à la qualité de vie de la jeune handicapée. Cette affaire met en lumière l’exploitation financière dont sont souvent victimes les personnes handicapées, ainsi que les conséquences dévastatrices de la dépendance au jeu. Si cette dernière semble toucher particulièrement les citoyens les plus fragilisés, une fois installée, elle n’a rien à envier à d’autres dépendances fortes et les personnes affectés semblent capables de dévaster la vie de leur entourage. En voici un autre exemple particulièrement marquant.

La dépendance au jeu : un problème aux conséquences gravissimes

Au risque d’insister, la dépendance aux jeux d’argent, bien que moins visible que d’autres formes d’addiction, peut avoir des conséquences tout aussi dévastatrices. Les problèmes associés à cette dépendance vont bien au-delà des pertes financières et peuvent entraîner une détérioration de la santé mentale, de la qualité de vie et des relations personnelles. Dans ce cas précis, la dépendance de la mère a conduit à un acte de négligence et d’exploitation envers sa propre fille. Mais c’est un modèle que l’on pourrait retrouver dans bien des cas aggravés de ludopathie sans même que le handicap n’ait besoin d’y être impliqué.

Dans ce cas précis, toutefois, la justice, reconnaissant le caractère grave de l’infraction, a condamné la mère à quatre mois de prison avec sursis simple, ainsi qu’à verser 500 euros de préjudice moral au tuteur de sa fille. Le préjudice matériel n’a pas encore été établi et devrait être discuté lors d’une audience ultérieure.

Vers une prise de conscience et une protection accrue des personnes handicapées

S’il touche autant l’exemple de la dépendance au jeux d’argent que la fragilité dans laquelle se trouve un certain nombre d’handicapés psychiques, cet incident met en lumière un besoin urgent de sensibilisation et de protection accrues pour les personnes handicapées. La manipulation financière et l’exploitation sont malheureusement trop courantes et nécessitent une attention et une action déterminées de la part de la société et des institutions. En outre, la prévention et le traitement de la dépendance au jeu devraient être une priorité, compte tenu de ses conséquences potentiellement dévastatrices.

Des solutions existent entre accompagnement gratuit et numéro vert pour aider les joueurs dépendants. Tous les acteurs confondus faisant la promotion des jeux de hasard et d’argent (casinos privés, Française des jeux, casinos en ligne, PMU, institutions de paris sportifs, …) ne devraient pas hésiter à mettre ses informations en avant pour jouer leur rôle préventif et d’accompagnement.

En conclusion, cette affaire souligne l’importance de la protection des individus vulnérables, notamment les personnes handicapées, ainsi que la nécessité de lutter contre la dépendance au jeu. C’est une question de respect des droits fondamentaux de chacun et de préservation de la dignité humaine. Faisons en sorte que ce triste exemple d’actualité soit une leçon pour ne pas le voir se reproduire.

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Rôle et responsabilités de la CDAPH

La CDAPH est la seule commission, au sein des MDPH, habilitée à prendre des décisions concernant l’ouverture des droits pour les personnes handicapées. Elle se penche sur diverses décisions liées à l’attribution de droits aux personnes handicapées. Ces décisions englobent l’orientation de la personne handicapée, la désignation des établissements appropriés pour répondre à ses besoins, l’attribution de diverses allocations ainsi que la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé, et enfin l’avis sur la carte mobilité inclusion et l’affiliation gratuite de l’aidant familial à l’assurance vieillesse.

Pour prendre une décision, la CDAPH s’appuie sur l’évaluation réalisée par l’équipe pluridisciplinaire de la MDPH. Les décisions prises peuvent englober des aides administratives, financières, des orientations, ainsi que des prestations.

Composition de la CDAPH

La CDAPH est constituée d’une diversité de membres qui représentent un large éventail de groupes concernés par les questions du handicap. En tout, elle compte 23 membres, dont les représentations sont réparties de la manière suivante :

• Des représentants du département : Ceux-ci sont des fonctionnaires départementaux qui apportent une perspective administrative et politique locale à la commission.
• Des services et des établissements publics de l’État : Ces membres proviennent de différents services de l’État et contribuent à la commission par leur compréhension des lois et réglementations nationales en matière de handicap.
• Des organismes de protection sociale : Ils sont issus des caisses primaires d’assurance maladie (CPAM), des caisses d’allocations familiales (Caf), etc. Ils apportent à la commission une compréhension des systèmes de protection sociale.
• Des organisations syndicales : Les syndicats, qui représentent les travailleurs, sont également représentés au sein de la CDAPH.
• Des associations de parents d’élèves : Ils apportent une perspective sur la façon dont les problèmes de handicap affectent la vie scolaire et éducative des enfants et des adolescents.
• Des représentants des personnes handicapées et de leurs familles : Ces membres, qui constituent au moins un tiers de la commission, sont désignés par les associations représentatives. Ils garantissent que les personnes directement touchées par les décisions de la commission sont entendues et représentées.
• Un membre du conseil départemental consultatif des personnes handicapées : Celui-ci assure un lien avec le conseil consultatif, contribuant à une coordination efficace des efforts pour améliorer la vie des personnes handicapées.

La composition de la CDAPH garantit que les décisions sont prises en considération des besoins et des intérêts variés des personnes handicapées.

Impact et portée de la CDAPH

La CDAPH joue un rôle crucial dans l’amélioration de la vie des personnes handicapées en France. En tant qu’instance décisionnelle principale de la MDPH, la CDAPH détermine l’attribution des droits aux personnes handicapées.

Chaque année, elle traite des milliers de dossiers. En 2020, la MDPH de Seine-Saint-Denis a par exemple reçu plus de 43 000 dossiers et la CDAPH a pris près de 116 000 décisions. Les décisions de la CDAPH sont ensuite appliquées par les organismes payeurs et les établissements et services sociaux et médico-sociaux, mettant en lumière son importance capitale dans le système d’assistance aux personnes handicapées.

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En effet, dans le monde de la réinsertion et de l’aide sociale ou psychologique, certains groupes de casinos n’hésitent pas à jouer aussi un rôle citoyen. Ainsi, des organisations comme la Fondation JOA se consacrent à aider des individus en difficulté à retrouver leur place dans la société. Dans cet article, nous verrons le rôle important que joue cette fondation et nous toucherons également un mot du Groupe JOA, de ses activités économiques et de ses casinos.

Le groupe JOA

Présentation du groupe

Le Groupe JOA est un acteur majeur français dans le domaine des loisirs, principalement dans l’exploitation de casinos et d’établissement de jeux. Son histoire remonte à 1948 lorsque Adrien Molinier a acquis le premier casino du groupe. En 2006, Bridgepoint Capital et Loto-Québec sont devenus les actionnaires majoritaires du groupe, renommé JOA Groupe en 2008. Alain de Pouzilhac et Laurent Lassiaz ont été nommés respectivement président du conseil de surveillance et président du directoire en 2007.

Avec la promulgation de la loi relative à l’ouverture à la concurrence du secteur des jeux d’argent en ligne en 2010, le groupe JOA a étendu ses activités aux jeux en ligne. Cette expansion s’est poursuivie avec l’ouverture de plusieurs nouveaux casinos et restaurants franchisés à travers la France. En 2012, un nouveau casino a été ouvert à Montrond-les-Bains et en 2013, un restaurant franchisé, « Le Comptoir JOA », a été ouvert à Lyon. En 2014, Alchemy Partners et Davidson Kempner sont devenus les principaux actionnaires du groupe.

Sur le plan économique, le Groupe JOA a généré un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros en 2015 et de 227 millions d’euros en 2016. Il est reconnu comme le troisième opérateur français et compte 22 casinos en France, ainsi qu’un site de jeux en ligne pour les paris sportifs et hippiques.

Fondation JOA

Fondée en 2009 par le groupe JOA, la Fondation JOA symbolise les valeurs de confiance et transparence du groupe. De 2009 à 2019, elle a notamment concentré ses efforts sur la problématique de l’addiction au jeu, finançant des études et facilitant la prise en charge des joueurs en difficulté. En 2020, la Fondation a réorienté ses missions vers deux axes principaux : la réinsertion sociale et professionnelle des personnes après un accident, et la lutte contre l’isolement social par le biais des activités ludiques ou de divertissement.

La Fondation JOA s’est associée à plusieurs organismes pour mener à bien ses missions. L’un d’eux est l’association « Comme Les Autres » (CLA), qui offre un accompagnement global aux personnes handicapées, en les aidant à surmonter leurs handicaps par des activités sportives et expérientielles. Dans le cadre de sa mission de lutte contre l’isolement, elle collabore également avec l’association « Vivre aux Éclats », qui utilise l’art clownesque pour améliorer le bien-être des patients dans les établissements de soins et d’éducation spécialisée.

La Fondation soutient également « Apprendre, Transmettre et Partager », une association cannoise qui propose des activités artistiques aux résidents des établissements de santé et d’hébergement médicalisés, permettant à ces derniers de retrouver une vie sociale et affective à travers un projet collectif.

En 2022, le groupe et sa fondation ont initié un partenariat avec l’initiative « Les Rockeurs ont du Cœur – Var », qui organise des concerts de rock pour collecter des jouets pour les enfants défavorisés. Les fonds recueillis par la vente de T-shirts et de billets de tombola lors de ces concerts sont intégralement reversés à une association œuvrant pour le bien des enfants.

Aujourd’hui, la Fondation JOA continue de soutenir d’autres initiatives ponctuelles en accord avec ses objectifs. Vous pouvez retrouver toutes les actions de la Fondation dans ses rapports d’activité. Elle en publie en général un par an pour faire état de ses interventions de terrain.

Quelques grands casinos du groupe

La Fondation JOA s’appuie sur le soutien et les ressources de ses nombreux casinos à travers le pays. Ces établissements offrent non seulement un divertissement de qualité aux joueurs, mais servent également de plateformes pour soutenir les efforts de réinsertion. Disons un mot ici de quelques-uns de ces établissements emblématiques.

Casino JOA d’Antibes La Siesta

Avec son emplacement idyllique face à la mer, le Casino JOA d’Antibes La Siesta offre une expérience inoubliable à ses visiteurs et propose une grande variété de jeux pour tous les niveaux. Les joueurs peuvent choisir parmi plus de 197 machines à sous, des jeux de table tels que le blackjack, le poker et la roulette, ainsi qu’une salle de poker dédiée pour les tournois.

Outre les jeux de casino, le Casino JOA d’Antibes La Siesta offre également une variété d’options de restauration et de divertissement. Le restaurant du casino offre une vue imprenable sur la mer et propose une cuisine méditerranéenne avec une touche moderne. Quant au bar du casino, c’est l’endroit idéal pour se détendre avec un cocktail ou une boisson entre deux divertissements.

L’un des autres points forts de ce casino est sa boîte de nuit, le « Siesta Beach Club ». Situé sur une plage privée, le club est un endroit idéal pour passer une soirée agréable à danser sur des rythmes endiablés avec une vue imprenable sur la mer Méditerranée.

Le casino JOA d’Argelès

Dans la famille des casinos de bord de mer, le Casino JOA d’Argelès est un établissement de divertissement situé à Argelès-sur-Mer, charmante station balnéaire du sud de la France, réputée pour ses plages magnifiques et son atmosphère décontractée. Cet établissement de jeux se trouve à proximité du port de plaisance et offre une vue fantastique sur la mer Méditerranée.

Dans son espace ludique, le casino propose une variété de jeux pour répondre à tous les goûts et tous les niveaux de compétence. Il dispose ainsi d’une vaste salle de jeux avec tous les divertissements habituels qu’on retrouve dans les casinos : machines à sous, vidéo poker, blackjack, roulette électronique…

En plus de l’offre de jeu, le Casino JOA d’Argelès possède un restaurant qui propose une cuisine locale et internationale. C’est l’endroit idéal pour savourer un délicieux repas tout en profitant d’une vue imprenable sur la mer. Le casino abrite également un bar à cocktails, où les clients JOA peuvent se détendre devant un verre tout en profitant de l’ambiance animée.

Casino JOA de Bagnoles de l’Orne

Dernier établissement de notre sélection, ce casino offre également une large gamme de jeux, et l’on pourra y compter sur les machines à sous, le poker, le blackjack et la roulette. L’établissement possède également une salle de poker dédiée où des tournois sont régulièrement organisés. Joueurs néophytes ou débutants, l’équipe de ce complexe de loisir est aussi là pour assister les clients afin de profiter au mieux de leur expérience de jeu.

En plus des jeux, le Casino JOA de Bagnoles de l’Orne dispose également d’un restaurant et d’un bar, proposant une sélection de plats français et internationaux. Avec une vue magnifique sur le lac, c’est l’endroit idéal pour un dîner romantique ou une soirée entre amis. Il organise également des soirées à thèmes et des événements spéciaux tout au long de l’année.

Inutile d’ajouter que les joueurs pathologiques peuvent faire jouer une interdiction volontaire de jeux auprès des services de l’Autorité nationale des jeux (ANJ) s’ils ne souhaitent pas se voir autoriser l’accès des espaces de jeux de tous ces établissements.

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